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Réseau France

Associations membres du Réseau France

 

Association Jeunesse pour Demain de Troyes

L’Association Jeunesse pour Demain a pour but d’accompagner l’autonomie des jeunes et la construction de leur projet de vie. Pour ce faire, L’AJD s’inscrit dans les principes de la prévention spécialisée que sont l’absence de mandat, la libre adhésion du public à la relation éducative, le respect de l’anonymat, la non-institutionnalisation des activités.

Son action est financée en convention avec le Conseil Général de l’Aube et les communes de La Chapelle Saint Luc, La Rivière de Corps, Les Noës prés Troyes, Saint-Parres aux Tertres, Sainte-Savine et Troyes.

En référence à son projet associatif, l’AJD pose comme principes d’action  la mobilité et l’«aller vers» les personnes en prenant en compte l’environnement, le «faire avec» dans le respect de l’identité de chacun, le travail en équipe et en partenariat. Pour plus d’infos : http://ajd.asso.fr/

Xavier Brugger, Stéphane Forgeat, Sandrine Masson et Hervé Murgier, membres de l’association inscrits dans le dispositif de recherche-action du réseau.

 

Association ASPICS Saint-Etienne du Rouvray

Association Stéphanaise de prévention individuelle et collective. Elle est présente sur les quartiers de St Etienne du Rouvray (30000 habitants) depuis 1975. À 100 km du Havre et 140 de Paris, St Etienne du Rouvray accueille  une population composée de nombreuses nationalités.

Au regard de la population du territoire très mixte,  l’Aspic s’est intéressée très tôt à la médiation interculturelle qui est une véritable composante de son intervention.

L’Aspic agit au titre de la prévention spécialisée et à ce titre travaille prioritairement en direction des jeunes et des familles en risque de marginalisation. Sans cesse dans la démarche d’identifier « qu’est ce qui marginalise », elle tente de créer en réponse, des démarches  innovantes dans les champs de l’éducation populaire, l’économie solidaire, le développement local. Par ailleurs l’Aspic oppose une résistance aux tentatives d’intégration à des dispositifs qui  éloigneraient les éducateurs de ce qui fait sa singularité : la capacité à créer des  relations de confiance, basées sur la libre adhésion, prenant en compte la personne dans sa globalité, l’aidant à grandir par la création d’espaces transitionnels.

Le challenge de l’Aspic est de garder un regard sur les adolescents en dehors des stigmatisations. En effet, nous refusons de  basculer dans des visions sécuritaires qui ne laissent aucune place à l’espoir de voir s’épanouir leur créativité et de leur offrir une place. 

L’Aspic est au cœur de la question de la place faite aux jeunes des périphéries et de la considération qui est faite à leurs familles et ce dans une période où elle est elle-même mise à mal par une baisse drastique de ses moyens de fonctionnement.   

L’équipe éducative est soutenue par une association ancrée dans le territoire depuis 39 ans. Son conseil d’administration soutient un dialogue constant avec les instances politiques du conseil général et de la ville afin de faire valoir le point de vue des jeunes. Il milite pour une véritable politique jeunesse dans laquelle les aspirations des jeunes soient entendues pendant que l’équipe crée des espaces dans lesquels ceux-ci puissent s’épanouir et s’exprimer.    

 

 

Association 2KZ à Decazeville

 

Association Prévention Spécialisée Dunkerque - Saint-Paul sur Mer

 

Direction de la Jeunesse - VIlle d'Echirolles

 

CEMEA Arif - Ile-de-France

 

 

 

Association du signe

L’ association du signe est une association de création, de sensibilisation et d'éducation

artistique et culturelle qui œuvre dans l'intérêt général et entend favoriser l’accès du plus grand nombre d’enfants et de jeunes, de personnes, en tant que citoyens à part entière, à une culture et une pratique artistique de qualité.

L'association du signe est née du désir de ses membres de proposer un accès à différentes formes d'œuvres  artistiques, à un public jeune, adolescent ou adulte quel que soit son isolement ou éloignement de l'offre artistique et culturelle, mais aussi, grâce à des actions de sensibilisation, de médiation et de formation, afin d'être un espace de dialogue, de lien social sur un territoire, entre des territoires, tant artistiques que géographiques ou sociaux.

 

L’association du signe se développe autour de trois axes distincts mais reliés entre eux :

la création de formes théâtrales avec le Théâtre du signe, la création d’albums jeunesse avec les éditions « Fais-moi signe ! » ainsi qu’un travail de médiation artistique.

 

Contact : 15 BIS RUE DUMONT D'URVILLE

Code postal : 14000 Ville : CAEN

Téléphone : 02 31 83 86 91 – 06 23 43 97 07

Site Internet : www.theatre-du-signe.com

Adresse électronique : theatre-du-signe@wanadoo .fr

 

 

Jeunesse Feu Vert  et de l’équipe Pelleport pour le réseau :

La Fondation Jeunesse Feu vert œuvre depuis 1957 et comprend 9 services : 2 Services de Prévention un à Paris  et l’autre en Seine Saint Denis, le SAFIP : Service d’Aide à la Formation et à l’Insertion Professionnelle, INFOBAT :  Entreprise d’insertion de second œuvre de bâtiment, un Service Éducatif d’Aide Éducative en Milieu Ouvert (AEMO) et une Unité d'Hébergement Individualisé dans l’Essonne ,  les Jacquets  dans les hauts de seine, avec 2 centres psychopédagogiques, la Maison de la Juine un Foyer éducatif, la Crémaillère : un Restaurant d’application et Coquerive : un Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS) et le TIPI un espace dynamique insertion.

Notre équipe « Pelleport » (dont le territoire se situe dans les hauts de Belleville entre les rues 140 rue de ménilmontant, Télégraphe, Pelleport, Saint Fargeau) fait partie du service parisien de prévention spécialisée Jeunesse Feu Vert. Celui ci est mandaté par le département de Paris pour accompagner des jeunes parisiens de 12 à 21 ans (prioritairement les 12/18 ans) ainsi que leurs familles au sein de leur milieu naturel de vie dans les lieux où se manifestent des risques de marginalisation sociale. Le service compte 12 équipes éducatives qui interviennent sur des territoires définis dans les 11ème, 12ème, 14ème, 19ème et 20ème arrondissements, conformément à la convention et à la Charte qui le lient au Conseil Général, avec des missions de protection de l'enfance et de réduction des phénomènes d’inadaptation sociale des jeunes.

La prévention spécialisée est une intervention éducative et sociale à la fois individuelle et collective qui s’exerce principalement  au sein des quartiers d’habitat social s’adressant à des groupes de jeunes, des personnes dont la situation sociale et le mode de vie risquent de les mettre ou les met effectivement en marge des circuits économiques, sociaux, culturels auxquels ils participent peu, et dont ils utilisent difficilement les possibilités.

La mise au point de cette méthodologie a donné lieu à l’énoncé de « principes» qui fixent un cadre de l’intervention : l’absence de mandat nominatif, la libre adhésion des jeunes, le respect de leur anonymat, la non-institutionnalisation des activités. Les outils de la prévention spécialisée sont le travail de rue, l’accompagnement éducatif individualisé, l’accompagnement éducatif de groupes, le partenariat et le travail en réseau, des actions sur « le milieu ».

L’’impossibilité de nombreux jeunes à se projeter dans l’avenir constitue des facteurs explicatifs du rajeunissement de la délinquance et de la violence sociale subie qui entraîne une violence agie. Le fondement du projet de la prévention spécialisée, c’est de proposer à des jeunes - et à des groupes de jeunes - le support d’une relation de confiance inscrite dans la durée avec une équipe d’adultes référents qui vont partager avec eux des expériences collectives positives et leur apporter un soutien éducatif personnalisé. L’objectif est essentiellement éducatif et vise à accompagner ces jeunes vers la construction d’un projet de vie qui leur est personnel, réaliste et rendu accessible par la levée des obstacles rencontrés.

Le sens profond du travail quotidien d’éducation que les équipes de prévention spécialisée développent s’attache à faire évoluer la violence portée par les jeunes vers de la confrontation et de la négociation.

Dans cette visée, l’équipe a intégré le réseau « jeunes inégalités et périphéries » en 2011, convaincue du bien fondée de cette démarche participative qui donnera aux jeunes l’occasion d’exprimer leur point de vue et leur réalité quotidienne. La préparation des vidéos nous a amené à animer des démarches participatives sous forme d’ateliers d’expression avec une quinzaine de jeunes de 18 à 20 ans qui jusque-là étaient accompagnés individuellement.

Cette expérience collective et réflexive s’est amorcée grâce au réseau « jeunes inégalités et périphéries » (séminaire de Dunkerque en 2011 et de Souillac en 2012) et se prolonge avec les mêmes jeunes ou d’autres jusqu’à aujourd’hui et sous des formes différentes : réalisation d’un diagnostic partagé avec les jeunes « être jeune dans mon quartier »,  réalisation d’un chantier de solidarité au Sénégal, réalisation d’un court métrage sur le thème des stigmatisations, création d’une association de jeunes « Collectif Ailleurs ».

Notre participation au réseau national et international a favorisé la rencontre et la confrontation de la réalité sociale des jeunes avec celle d'autres jeunes dans d’autres villes et dans d’autres pays en Europe et dans le monde, notamment des pays frappés par des situations de tensions ou de conflits. Ces rencontres ont été un facteur déclencheur qui leur a permis de se rendre compte de leur pouvoir d’agir, d'élargir leurs références, de confronter leurs vécus et de se sentir reconnus dans un rapport égalitaire, d’être écoutés, de réfléchir avec des chercheurs.

Cela a été une véritable richesse pour certains des jeunes que nous accompagnons et qui sont en recherche d'autres références et valeurs que celles du quartier qui parfois sont sclérosantes. C’est un réel élargissement de leurs représentations.

En effet, actuellement, les jeunes du collectif travaillent sur la création d'un film sur les «  stigmats  » et la discrimination  » ainsi que sur la création d'une association. Ils approfondissent leur réflexion sur les valeurs qu'ils souhaitent défendre et sont dans une réelle prise de conscience sur l’importance de  devenir acteur dans la cité et de s'ouvrir à diverses formes d'expression et de solidarité locale et internationale.

Pour les éducateurs et surtout les jeunes, la dimension des rencontres nationales et internationales de jeunes a été une expérience inédite très stimulante et novatrice, l'impact est encore très fort aujourd’hui aussi bien chez les jeunes que chez les éducateurs qui en ont tiré une énergie créatrice et ont renforcé leurs convictions et pratiques éducatives qui consistent à promouvoir les potentialités des jeunes et à créer des situations transformatrices qui auront une influence sur l'ensemble de leur groupe de pairs et des jeunes du quartier.

 

 

 

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Chercheurs, experts et artistes

 

 

Michel Duterde : militant des CEMEA formateur-intervenant dans des projets de coopération internationale concernant la jeunesse, l’éducation, le développement, la solidarité. Contributeur au livre « Adolescence et idéal démocratique. Accueillir les jeunes des quartiers populaire ». Edition InPress (michel.duterde@orange.fr)

 

Jean-François Mignard : Militant de l’Education Populaire, ancien formateur en travail social dans le réseau Céméa. Il a travaillé en prévention spécialisée. Secrétaire Général de la LDH (Ligue des droits de l’homme). Rédacteur en chef de la revue Hommes et libertés. jfmignard@sfr.fr

 

Stéphane Tessier : Médecin de santé publique, impliqué depuis 35 ans dans les questions d’éducation populaire, chercheur associé en sciences de l’éducation Paris 10 Nanterre. Les travaux vont dans deux directions :

  • La pédagogie de l’interstice qui définit les objectifs, les méthodes et le cadre éthique des interventions auprès des populations en grande précarité ;

  • L’interculturalité et al diversité qui traversent la société française contemporaine et impactent tous les secteurs faisant l’interface entre les institutions et les individus

Auteur de plusieurs ouvrages (parmi lesquels : Education, santé, précarités : la pédagogie de l’interstice : L’Harmattan 2013, Les éducations en santé, Maloine 2012, Failles et institutions : cultures, identités et imaginaires, Erés 2009), il anime le site de REGARDS : http://dautresregards.free.fr

sftessier@free.fr 

 

Valentine Kazantceva : Professeur de français en Russie interprète dans les projets de coopération franco-russe (michel.duterde@orange.fr)

 

Sylvain RAMON : Psychologue clinicien, sa pratique concerne les adolescents en difficulté et les adultes qui les soutiennent (consultations, activités de médiation, formation/supervision).

Kiss A. Ramon S. Sudres J.-L. (2004). L’investissement objectal et social de l’adolescent en rupture : Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence. Vol.52, N°1.

Ramon S. (2011). Adolescents précaires. Le psychologue auprès des professionnels en institution : Psychologues & Psychologies.  Revue du SNP. sylvainramon@yahoo.fr

 

Edgar Laloum :

 

 

 

 

Dominique Dray :

Mourad Sassi :

Giuseppe Carolo :

 

 

 

 

Claire de Benazé :

Bernard Equel :

Anna Macarova :

Annie Léculée :

Valentine Kazan de Seva :

Marc Geneve :

Bernard Champagne :

Philippe Gutton :

 

Teresa Cristina Carreteiro :  Psychosociologue, chercheuse auprès des adolescents et des jeunes en plusieurs milieux sociaux, particulièrement des jeunes marqués par des processus de manque d'affiliations sociales. J'ai mené des recherches-actions en France et au Brésil.

 

Isabelle Bordet : 

Sylvie Robe :

Marco Bataille Testud :

 

 

Roberta Baldi (1983) : J' obtiens mon titre de psychologue clinicienne à l’Université "Sapienza" de Rome en 2008 et, entretemps, je met en place une recherche-intervention en Italie du Sud concernant le rapport des jeunes des villages à l' environnement et leur possibilité d' accès aux ressources du territoire. En 2010  j'arrive en France pour apprendre les approches et les méthodes de la psychosociologie à  l' Université Paris 7 et je me forme à la recherche dans le laboratoire de Changement Social .

Depuis 2008 mes activités professionnelles sont basées  principalement sur la formation, l’accompagnement et le soutien psychologique des groupes et des individus. 

Actuellement je suis professeur de psychologie à l' École de Travail Social Rabelais et à la fondation ITSRS de Neuilly-sur-Marne et  j'accompagne les travailleurs sociaux à leur entrée dans le métier. 
Je cultive différentes pratiques artistiques, de la peinture au chant et suis également le president d'une association qui à le but de promouvoir le culture italienne en France. 

Hervé Murgier, éducateur prévention spécialisée Troyes

 

 

Joelle Naim, artiste : Je suis née le 3 juillet 1953 en Tunisie. Je l'ai quittée à 9 ans, mais j’en ai gardé les couleurs. Je suis une artiste ambulante ; passer d’une pratique à l’autre m’est vital. Peindre, écrire, faire un film, étudier, traduire, autant de voyages vers l'autre, la rencontre étant l'une des grandes affaires de ma vie. Entre l'intime et l'histoire, entre le chaos des émotions personnelles et de la violence du monde, se frayer un chemin, sur lequel on marche vers l'inconnu, et chaque création, ou objet produit sont autant de cailloux jetés derrière soi, qui me permettent de les penser, tout en pansant les blessures, trouver ces forces réparatrices, un peu de beauté et de sens. « Nous ne construisons pas des cathédrales, seulement des petits abris. C'est un travail sale et modeste. » Léonard Cohen

Site : http://joelle.naim.free.fr

projets  (liste non exhaustive)

  • Nappes-mondes ; pour une géopoétique de la relation ; projet terminé mais le livre mémoire reste à être édité

  • Avec la laine

 

Joelle Bordet : Fondatrice et coordinatrice de ce réseau de recherche. Psychosociologue, directrice de recherche au CSTB, militante des CEMEA et de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme). Auteur des ouvrages : « Les jeunes de la cité ». Editions PUF ; « Oui, à une société avec les jeunes des cités ». Edition de l’Atelier ; « Adolescence et idéal démocratique. Accueillir les jeunes des quartiers populaire ». Edition InPress

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